Jésus parlait à ses disciples de sa venue. Il leur dit cette parabole : « Voyez le figuier et tous les autres arbres. Dès qu’ils bourgeonnent, vous n’avez qu’à les regarder pour savoir que l’été est déjà proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le royaume de Dieu est proche. Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas sans que tout arrive. Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. »
Jésus parlait à ses disciples de sa venue.
Le chemin sera long jusqu’à la fin des temps. Il en précise les étapes dramatiques qui affoleront les nations: guerres, catastrophes naturelles et cosmiques, persécutions, chute de Jérusalem.
Après ce discours apocalyptique, Jésus se veut rassurant. Comme les bourgeons au figuier et à tous les arbres, annoncent le retour de la nature à la vie, ces signes précéderont le retour du Christ. Alors on verra le Fils de l’Homme venant sur une nuée avec beaucoup de puissance et de gloire.
Quand cela arrivera, redressez-vous et levez la tête, parce que votre rédemption approche. Cela veut dire que nous sommes vraiment sauvés.
La promesse n’est pas vaine, elle s’accomplira en temps voulu pour celui qui sait attendre dans la foi et persévérer dans l’espérance.
Cela veut dire que le Royaume de Dieu se construit dans la difficulté, les luttes et le courage. Jésus ne nous a pas promis une vie tranquille et sans problème. Il nous a dit Je suis venu pour mettre le feu sur terre. Jésus lui-même, toute sa vie a été un combat. Il a supporté les critiques, les attaques. Il nous propose sa force. Savons-nous l’accueillir ?
Cet évangile est un appel du Seigneur à lutter contre les malheurs des hommes et à les soulager de leurs misères Seigneur que ton règne vienne.
Dans les malheurs du monde nous pouvons avoir confiance en Jésus. Il nous le dit lui-même : Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas.